Ainsi, les Thébains se vantaient de posséder trois tableaux archaïques en bois d'Aphrodite Ourania, Pandemos et Apostrophía (Ἀποστροφία « celle qui détourne »), qui auraient été donnés par Harmonie et créés à partir des figures de proue des navires des Cadmos. Ruines du temple d'Aphrodite à Aphrodisias. La déesse Aphrodite prit à Chypre la forme d'un homme ; Sparte : Aphrodite possède plusieurs sanctuaires, dont le plus ancien comporte deux statues archaïques : une Aphrodite en armes et Aphrodite. Comme je suis boiteux, la fille de Zeus, Aphrodite, ne fait que m'outrager; elle aime le cruel Arès car il est séduisant et bien planté, tandis que moi je suis estropié. Le Jugement de Pâris,Albâtre sur plaque de bois, vers 1535 (Bode-Museum, Berlin). La déesse entraîne à sa suite Éros et des divinités allégoriques comme Péitho (la Persuasion), Pothos ou Himéros (le Désir). Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les poèmes connus sous le nom de cycle de la guerre de Troie étaient l'aboutissement de nombreux mythes sur les anciens guerriers et héros grecs qui ont combattu et sont morts à Troie. La cause mythique de la guerre de Troie est essentiellement connue par Les Métamorphoses d'Ovide et Les Dialogues des dieux de Lucien de Samosate. Elle est citée dans l’Odyssée[14] : VIII, 266-366; 306-320; 363. Ivan Aïvazovski, La Naissance d'Aphrodite, 1887. Et l’on peut croire que l'Aphrodite Pandémos inspire les amours du corps, tandis que l'Aphrodite Ourania des offrandes plus chastes ? Il existe aussi des effigies d'Aphrodite courotrophe (avec un enfant dans les bras)[75]. Tags: Question 2 . Michel Butor (présenté par) / Frédéric Mugler (traduit par), Liste des divinités de la mythologie grecque, http://www.aly-abbara.com/histoire/Mythologie/Grece/Aphrodite/Aphrodite-Venus.html, Πότνια Αὔως: The Greek Dawn-Goddess and Her Antecedent, Épithètes cultuelles et interprétation philosophique. Aphrodite-Vénus a fait, depuis la Renaissance, l'objet d'un grand intérêt, avec de nombreuses interprétations artistiques. Aphrodite participa à la guerre de Troie au coté des Troyens. Mais puisqu'il y a deux Aphrodite, forcément il y a aussi deux Amours. Michael Janda analyse le nom d'Aphrodite comme une épithète d'Éos signifiant « celle qui se lève de l'écume [de l'océan] » qui renvoie au récit théogonique d'Hésiode de la naissance d'Aphrodite en tant que réflexe archaïque du mythe indo-européen[11]. Elle inspire les amitiés viriles. Tout a commencé quand Eris , une déesse de la discorde et de la rivalité, est apparue dans le mariage du roi Pélée et de la nymphe des mers Thetis . Un rire inextinguible les saisit ». Dans la mythologie grecque, Aphrodite (en grec ancien : Ἀφροδίτη) est la déesse de l'Amour (dans son acception la plus large)1. Pour Cicéron40, qui ne fait pas mention d'Hermaphrodite, le seul fils d'Hermès et d'Aphrodite est Éros. Sujet: Aphrodite, la Déesse de l'Amour Mer 18 Jan 2012 - 13:49 Je vous présente une nouvelle venue, c'est Aphrodite, la déesse de l'Amour et aussi de la Beauté. À l'origine, déesse de l'Aurore, elle est devenue la déesse de l'amour sous toutes ses formes, incluant la prostitution, avec l'Aphrodite pórnē d'Abydos, l'Aphrodite hetaíra d'Athènes, ce rôle dérivant du mythe de l'Aurore qui s'unit à un mortel[12]. De cette écume, une fille se forma, qui toucha d'abord à Cythère la divine, d'où elle fut ensuite à Chypre qu'entourent les flots; et c'est là que pris terre la belle et vénérée déesse qui faisait autour d'elle, sous ses pieds légers, croître le gazon et que les dieux aussi bien que les hommes appellent Aphrodite, [Le traducteur met des crochets au vers 196, indiquant par là qu'il s'agit vraisemblablement d'un ajout ultérieur au texte d'Hésiode : « déesse née de l'écume (aphrogenea), et aussi Cythérée au front couronné »], pour s'être formée d'une écume (aphrô), ou encore Cythérée, pour avoir aborder à Cythère, [Des crochets sont mis aux vers 199-200 : « ou Cyprogénéia, pour être née à Chypre battue des flots, ou encore Philommédée, pour être sortie des bourses. La cité de Nouvelle-Ilion (Novum Ilium) frappe des monnaies à son effigie[réf. Aphrodite possède un sanctuaire, l'Aphrodision dans la ville d'Aphrodisias, ville portant le nom de la déesse. Aphrodite possède deux sanctuaires au Pirée, au bord du port de Kantharos, l'un attribué à Thémistocle, l'autre à Conon qu'il « fit bâtir après la victoire navale qu'il remporta sur les Lacédémoniens, vers Cnide, dans la Chersonèse de Carie »[65],[66]. L'Aphrodite céleste, en revanche, est la plus élevée. Héphaïstos installe son piège autour de sa couche et fait mine de partir pour Lemnos. L'enlèvement d'Hélène par Pâris provoquera la guerre de Troie. Hésiode (Théogonie, 930-937) mentionne la descendance d'Aphrodite et Arès : « à Arès le pourfendeur, Cythérée (Aphrodite) donnait pour fils Phobos (Déroute) et Déimos (Panique), qui, terribles, bousculent les bataillons compacts des guerriers dans la guerre frissonnante, avec l'aide d'Arès destructeur, et aussi Harmonie, que l'ardent Cadmos se donna pour épouse »[19]. La fondation du culte d'Aphrodite Pandémos à Athènes était attribuée à Thésée et considérée comme une conséquence de la réunion des Athéniens des dèmes en une seule cité. Vers -460, les vases attiques à figures rouges figurent la naissance d'Aphrodite. De Dionysos, elle enfante Priape[41] (la paternité est attribuée alternativement à Zeus ou Adonis), Hyménaios, le dieu du chant nuptial (aussi dit né d'une des neuf Muses), et, selon l'Hymne orphique 54, l'Hermès chtonien ou infernal. pseudo-Orphée (Hymnes orphiques, 43, Parfum de Liknitès — La Manne)[25]: pseudo-Orphée (Hymnes orphiques, 52, Parfum d'Aphrodite)[25]: pseudo-Orphée (Hymnes orphiques, 54, Parfum de Hermès souterrain — Le Styrax)[25]: Dans le Banquet de Platon[72], la discussion s'engage entre Socrate et ses proches. Dans les épopées homériques, l’Iliade et l’Odyssée, les plus anciennes œuvres littéraires grecques connues, Aphrodite naît de Zeus (Iliade, V, 131; 329-351; 418-430; XIV, 188-224; XX, 105; XXIII, 184-187)[13] et Dioné (Iliade, V, 348-417)[13] : « Lors Aphrodite tomba aux genoux de Dioné, sa mère, et celle-ci serra sa fille dans ses bras… » Dioné est une figure mal connue dont le nom, apparenté au nom de Zeus (Ζεύς, génitif Διός), suggère qu'elle était initialement sa parèdre[15]. Homère (Odyssée, VIII, 266-366) parle des amours d'Aphrodite et Arès : « L'aède, après quelques accords, commença un beau chant sur les amours d'Arès et d'Aphrodite couronnée. nécessaire]. Aphrodite est la seule déesse qui soit souvent représentée nue dans l'Antiquité. La représentation d'Aphrodite nue apparaît au VIe siècle avant notre ère, et reste encore très rare au Ve siècle[74]. Par des épiclèses, l'épithète est attestée en Attique, à Corinthe (comme Πειθώ Οὐρανία / Peithṓ Ouranía) et à Panticapée en Crimée (Οὐρανία Ἀπατούρη Βοσπόρου μέδουσα / Ourania Apatoúrē Bospórou médousa). C'est pourquoi ce Phaéthon nous est décrit comme un génie nocturne, attaché à Aphrodite. Par la suite, les Argonautes abordent à Lemnos. La guerre de Troie est une épopée issue de l’Iliade de Homère, un célèbre poète grec au VIIIe siècle av. Il dit : « [Eos] mis au monde un glorieux enfant, le puissant Phaéthon, tout pareil aux dieux. La dernière modification de cette page a été faite le 4 février 2021 à 10:42. L'épithète de Pandémos (Πάνδημος / Pándêmos) « commun à tous, de tout le peuple » était liée à l'organisation politique de différentes communautés (voir dèmos). Aphrodite était adorée dans la plupart des villes de Chypre, ainsi qu'à Cythère, Sparte, Thèbes, Délos et Élis, et son temple le plus ancien était à Paphos. Mais ce cadeau nétait destiné ni à la mariée, ni au marié. La déesse Éris, sœur d'Arès, et déesse de la discorde, n'avait pas été admise à faire partie des dieux de l'Olympe, et désirait se venger. Orphée, grâce à sa lyre, réussit à briser le charme de leur chant. Il intercale donc ici son nom à côté de sa sœur, Héra; et il profite de cette digression pour revenir à Aphrodite, qui, par sa naissance, se rattache à la génération antérieure, puisqu'elle est une Ouranide, mais qui n'en fait pas moins partie du groupe des Olympiens »[19]. Mais la guerre éclata entre les Grecs et les Troyens et elle protégea ces derniers. Aphrodite a été présentée dans l'art occidental comme un symbole de la beauté féminine et elle apparaît dans de nombreuses œuvres artistiques depuis la Renaissance jusqu'à nos jours. », « Toi qui hantes le chemin du Kokytos (le Cocyte) inévitable d’où nul ne revient, et qui conduis sous terre les âmes des morts, Hermès, fils de Bakkhos-Dionysos et de la Vierge Paphienne, Aphrodite aux sourcils arqués. [Cultures Antiques] Aphrodite et la guerre de Troie Eris était une déesse, la seule qui ne fut pas invitée au mariage du roi Pelée (fils d’Eaque, roi d’Egine) et de la nymphe de la mer Thétis, jette par jalousie une pomme d’or sur la table du banquet avec écrit « A la plus belle ». Il les jette « ensuite, au hasard, derrière lui. En rétorsion, Ménélas, l'époux bafoué, lève avec son frère Agamemnon une expédition rassemblant la plupart des roi… Zeus décidera de partager le temps d'Adonis entre les deux déesses : un tiers de l'année pour chacune et le troisième à son choix. Aphrodite accroupie. William-Adolphe Bouguereau, La naissance de Vénus, 1879. Fils d'Anchise (un prince de la maison royale de Troie) et de Vénus /Aphrodite, Enée, prince troyen, fut un des héros de la guerre de Troie mais c'est aussi un héros de la mythologie romaine et l'acteur principal de l'Enéide de Virgile Depuis le XIXe siècle, l'origine d'Aphrodite a fait l'objet de nombreuses études et controverses. Les historiens modernes placent Homère au -IX/. Ces derniers « ne s'inquiètent pas que ce soit ou non de belle façon ». Jean Haudry l'interprète également comme signifiant « cheminant sur l'écume » ou « qui a l'éclat de l'écume »[12]. Cependant, en tous temps, ce sont surtout les jeunes filles et les femmes, plus que les hommes et les garçons, qui ont des devoirs envers la déesse. Un jour, Eris (la Discorde), alors que les dieux étaient assemblés pour les noces de Thétis et Pélée, lança une pomme d'or (la "pomme de discorde") au milieu d'eux, disant qu'elle devait être accordée à la plus belle des trois déesses Athéna, Héra et Aphrodite. La statue d'Aphrodite (retrouvée en 1820 sur l'île de Milos et baptisée improprement Vénus de Milo à l'époque) représente un type plus récent (période hellénistique, vers 150-130 avant notre ère). Pour se venger Ménélas, l'époux d'Hélène leva une armée composée des plus grands rois grecs pour assiéger Troie et remporter après plus de dix ans le combat grâce à toute la ruse d'Ulysse et de son cheval de Troie . Les attributions d'Aphrodite ont pu évoluer selon les époques et les cités. « J’invoque par ces prières Dionysos Liknitès, le Nysien florissant, le désirable et joyeux Bakkhos, nourrisson des Nymphes et d’Aphrodite à la belle couronne ». Héra, Athéna et Aphrodite rivalisèrent pour cet honneur, et Zeus nomma le prince troyen Paris juge. De la Guerre. Les déesses Héra, Athéna et Aphrodite se la disputent. Or, comment nier ici l'existence de deux déesses ? L'enlèvement d'Hélène par Pâris provoqua la guerre de Troie. Alors les déesses demandèrent à Pâris, prince de Troie, d’en choisir une. La fameuse stratégie du cheval de Troie, conçue par Ulysse conduisit les Troyens à leur perte. L'animal se serait soudainement transformé en bouc. Afin de se départager, elles demandent à Pâris, prince de Troie, d'être leur arbitre. Paul Mazon, à propos de ce passage qui commence par la descendance de Poséidon, précise : « Poséidon est le seul des Cronides dont Hésiode n'ait pas encore mentionné la descendance. Elle achète également au sculpteur Praxitèle l'une des statues les plus connues de l'Antiquité[55], dite « Aphrodite de Cnide ». Enfin et surtout, Thalassa « la mer » était la « mère » de la déesse de l'amour selon l'une des versions rapportant sa naissance ; elle-même était souvent vénérée avec Poséidon, en particulier en Argolide et en Arcadie, à Corinthe, Orchomène et à Patras. »[19]. Sa fête principale, les Aphrodisies (en), était célébrée chaque année au milieu de l'été. Troie, aussi connue sous le nom d'illion, était une ville de grèce, et le champ de bataille de la guerre de troie. Certaines traditions tardives en font plutôt les filles d'Hélios (le Soleil) et d'Églé, ou de Dionysos et d'Aphrodite (ou d'Héra)[réf. les filles du roi de Chypre refusent de l'honorer : elle les force à se prostituer ; La Vénus du Capitole, l'une des meilleures copies du type de l'Aphrodite de, Aphrodite dite de Cnide, copie romaine en marbre d'après un original grec de Praxitèle (, Salamine de Chypre : Aphrodite est également vénérée à. Aceste aide Enée, et enterre son père mort sur le mont Eryx. Aphrodite a également joué le rôle de déesse de la cité probablement à Cassope (en) en Épire et à Metropolis en Thessalie. Héphaïstos s’apprêtant à attraper Arès et Aphrodite dans un filet. Arès s'envole vers la Thrace. Déjà, les Grecs avaient posé la question de l'origine d'Aphrodite. La variante dite Aphrodite Pudique apparaît vers -330. Elle l'aidera, lors de la chute de Troie, à emporter les Pénates de Troie jusqu'en Italie, avant d'obtenir pour lui l'Immortalité que lui accorde Zeus[51]. Le type de l'Aphrodite anadyomène, surprise sortant de l'eau, quelquefois avec son fils Éros date du Ve siècle avant notre ère[74]. La discussion réunit Socrate et plusieurs de ses proches (Charmide, Critobule, Nicératus, Hermogène, Antisthène, Callias). après l'enlèvement d'hélène par pâris et aphrodite, les rois de grèce se rassemblèrent pour assiéger troie. Ceci posé, si Aphrodite était unique, unique aussi serait Amour. Les sources textuelles mentionnent explicitement les fêtes des Aphrodisia à Corinthe et à Athènes, où les nombreuses prostituées qui résidaient dans la ville la célébrait comme un moyen d'adorer leur déesse patronne. D'Hermès, elle enfante Hermaphrodite[39], mi-homme mi-femme[d]. de Troie, qui aurait duré dix ans, mais ne dit rien des causes premières de la guerre, de ses préparatifs, ni d’ailleurs de son dénouement. Le culte d'Aphrodite s'associe souvent à la sexualité, mais ce n'est pas la seule fonction de la déesse. À Athènes, il existait « dans les jardins » (ν κήποις), qui se trouvaient probablement au bord de l'Ilissos[32], un temple d'Aphrodite Ourania, qui, sur un hermès, était décrite comme « la plus ancienne des Moires ». Dans l'Antiquité Erice était plus connue sous le nom d'Eryx, fut fondé selon la légende par Aceste fils d'une troyenne Aphrodite et de Poséidon qui avait fuit Troie pendant la guerre. Le mythe d'Aphrodite émergeant des eaux après que Cronos a vaincu Ouranos, serait alors directement apparenté à celui d'Indra vainqueur de Vrtra et libérant Ushas, la déesse de l'aurore dans le Rig-Véda. Pseudo-Apollodore (I, 9, §17) : « les Lemniennes ne rendaient aucun culte à Aphrodite ; la déesse, pour s'en venger, leur donna à toutes une si mauvaise odeur, que leurs maris ne pouvant en approcher, enlevèrent dans la Thrace, qui était voisine, des jeunes filles, et partagèrent leur lit avec elles. De fait, elle correspond très probablement à la déesse Ishtar-Astarté, avec laquelle elle partage de nombreux traits : ce sont des divinités androgynes[a] ; Astarté est la « reine du ciel » alors qu'Aphrodite est dite « la céleste » (Ourania) ; leur culte comprend l'offrande d'encens et le sacrifice de colombes[5]. La fête d'Aphrodisia a été l'une des cérémonies les plus importantes à Délos, bien que nous ne sachions pas grand-chose sur les détails de la célébration. L'une, sans doute la plus ancienne, qui n'a point de mère et est fille de Ciel, est celle que nous nommons Ourania (Céleste). Dans l'Antiquité, Trapani et son port servaient de débouché commercial à la ville d’Erice, située sur le mont qui domine Trapani, et qui était alors plus connue grâce à son sanctuaire d'Aphrodite. L'un des temples les plus remarquables d'Aphrodite Pontia et Limenia est celui d'Hermione en Argolide, où se trouvait une impressionnante statue en marbre. Je t’invoque avec un cœur innocent et par des paroles sacrées. C'est le prince troyen Pâris qui la déclenche en enlevant Hélène, épouse du roi de Sparte, Ménélas. A. Barguet (texte présenté, traduit et annoté par), Claude Michel Cluny (présenté par) / Frédéric Mugler (traduit par) (, Paul Mazon (texte établi et traduit par) (. », « Lors Aphrodite tomba aux genoux de Dioné, sa mère, et celle-ci serra sa fille dans ses bras… », Certaines traditions tardives en font plutôt les filles d', « Infortunée que je suis, lui dit-elle, te voilà encore à mes côtés, pleine de desseins perfides », « le temple d'Aphrodite à Corinthe était si riche, qu'il possédait à titre de, « filles très accueillantes, servantes de Peïtho [la persuasion] en la fastueuse Corinthe, Notices dans des dictionnaires ou encyclopédies généralistes, Il existe des représentations d'Aphrodite barbue et des mentions d'un. Aphrodite, déesse de la Fertilité, entourée de deux Éros aux ailes de colombe. Égypte copte, IIIe-IVe siècle. Socrate dit : « N’y a-t-il qu’une seule Aphrodite ou bien deux, l'Aphrodite Ourania et l'Aphrodite Pandémos ? Concernant les Charites, il y a plusieurs versions de leur généalogie : selon Hésiode et Pindare[42], elles sont les filles de Zeus et d'Eurynomé (ou d'Eunomie). Enée, lors de sa fuite pendant la guerre de Troie s’arrêta chez Aceste, roi d’Erice, qui lui offrit l’hospitalité. Selon Plutarque, elle avait acquis cette épithète d'un épisode de la vie de Thésée lorsque, sur la recommandation d'Apollon, le héros avait sacrifié une chèvre à Aphrodite avant de partir pour la Crète dans l'espoir qu'elle le guiderait dans son voyage. Je l’ignore : car Zeus, qui sans doute est seul, a lui-même tant de noms ! Dans Homère (Iliade, XX, 31-155), Aphrodite soutient les Troyens (avec Arès, Apollon Phoibos, Artémis, Léto et le fleuve Xanthe) alors qu'Héphaïstos soutient les Grecs (avec Héra, Pallas Athéna, Poséidon et Hermès)[13]. Elle est en rapport avec les activités des jeunes filles en général[28]. Pâris choisit Aphrodite et demande en récompense Hélène de Troie, épouse du roi grec Ménélas. De la Foudre. À Athènes, on peut voir l'autel d'Aphrodite Ourania. venez ici voir un forfait monstrueux et grotesque ! Aphrodite émergeant (fin du Ier siècle BCE /début du Ier siècle CE). Au cours de cette guerre, le héros grec Diomède blessera légèrement la déesse alors qu'elle porte secours à son fils Énée. Pour Vinciane Pirenne-Delforge, malgré le succès que cette conception intellectuelle a eu dans son interprétation populaire, les deux épiclèses de la déesse ne la divisait pas en figures divines aussi antagonistes. L'enlèvement d'Hélène de Sparte par Pâris déclenche la guerre de Troie entre les Grecs et les Troyens. Plus tard, les Romains ont assimilé Aphrodite à la Vénus de la mythologie romaine. answer choices . Au mariage de Pélée et Thétis, Éris (déesse de la discorde) offrit une pomme d’or à la plus belle déesse. Conseillère de Bakkhos, qui te réjouis des couronnes et des noces, mère des Éros, qui aimes les lits nuptiaux, qui accordés en secret la grâce, visible et invisible, aux beaux cheveux, Louve porte-sceptre des Dieux, génératrice, qui aimes les hommes, très-désirable dispensatrice de la vie, qui unis les vivants par des nécessités invincibles et qui saisis, à l’aide de tes charmes, d’un désir furieux, la race innombrable des bêtes sauvages, viens, Déesse née dans Kypros (Chypre), sois-nous favorable, belle Reine, soit que tu souries dans l’Olympe, soit que tu parcoures tes demeures dans la Syrie qui abonde en encens, soit que, sur tes chars ornés d’or, tu visites les rives fertiles du fleuve Aigyptos (le Nil) ; soit que, sur les hauteurs qui dominent l’onde marine, tu te réjouisses des danses circulaires des hommes, ou que tu te plaises, sur la terre divine et dans ton char rapide, au milieu des Nymphes aux yeux bleus, le long des sables du rivage ; soit que, dans la royale Kypros qui t’a nourrie, les belles vierges et les nouvelles mariées, ô Bienheureuse, te célèbrent par leurs hymnes, toi et l’ambrosien Adonis, viens, ô belle et très-désirable Déesse !