[…] La prison à perpétuité est une peine de mort cachée ».[257]. Accepter qu’existent des valeurs permanentes, même s’il n’est pas toujours facile de les connaître, donne solidité et stabilité à une éthique sociale. C’est un cheminement qui demande de la persévérance, qui est également fait de silences et de souffrances, capable de recueillir patiemment la longue expérience des individus et des peuples. En outre, il s’agit d’un présupposé pour des échanges sains et enrichissants. [100] Lettre enc. Prendre soin de la fragilité veut dire force et tendresse, lutte et fécondité, au milieu d’un modèle fonctionnaliste et privatisé qui conduit inexorablement à la “culture du déchet”. C’est un désir fort du bien, un penchant vers tout ce qui est bon et excellent, qui pousse à remplir la vie des autres de choses belles, sublimes et édifiantes. post-syn. Dans certaines visions économiques étriquées et monochromatiques, il ne semble pas y avoir de place, par exemple, pour les mouvements populaires rassemblant des chômeurs, des travailleurs précaires et informels ainsi que beaucoup d’autres personnes qui n’entrent pas facilement dans les grilles préétablies. [241] Nous ne pouvons donc plus penser à la guerre comme une solution, du fait que les risques seront probablement toujours plus grands que l’utilité hypothétique qu’on lui attribue. en langue française (26 septembre 2013), p. 5. Christus vivit (25 mars 2019), n. 93. Nous n’avons pas à passer du temps à déplorer le fait ; il n’oriente pas nos regards vers les brigands. Afin que cela soit réellement utile, on doit observer « l’exigence de respecter les engagements souscrits – pacta sunt servanda – »,[154] de telle sorte qu’on évite « la tentation de recourir au droit de la force plutôt qu’à la force du droit ». Par conséquent, « chacun joue un rôle fondamental, dans un unique projet innovant, pour écrire une nouvelle page de l’histoire, une page remplie d’espérance, remplie de paix, remplie de réconciliation ». Cependant, le généreux Samaritain a résisté à ces classifications étriquées, même s’il n’appartenait à aucune de ces catégories et était un simple étranger sans place spécifique dans la société. Laborem exercens (14 septembre 1981), n. 19 : AAS 73 (1981), p. 626. 209. Et si elle est athée, c’est le même amour. 182. Elles se sentaient importantes pour la société du moment et leur urgence était le rôle qu’elles devaient jouer. En se regardant soi-même par rapport au point de référence de l’autre, de celui qui est différent, chacun peut mieux reconnaître les particularités de sa personne et de sa culture : leurs richesses, leurs possibilités et leurs limites. Ce sont les symptômes d’une société qui est malade, parce qu’elle cherche à se construire en tournant le dos à la souffrance. [210], 227. Un thème développé par le cardinal Miguel Angel Ayuso Guixot, président du Conseil pontifical pour le Dialogue interreligieux. Mais les processus efficaces d’une paix durable sont avant tout des transformations artisanales réalisées par les peuples, où chaque être humain peut être un ferment efficace par son mode de vie quotidien. Elles n’ont pas été capables de perdre quelques minutes pour assister le blessé ou du moins pour lui chercher de l’aide. Il y a là un secret de l’existence humaine authentique, car « la vie subsiste où il y a un lien, la communion, la fraternité ; et c’est une vie plus forte que la mort quand elle est construite sur de vraies relations et des liens de fidélité. 12. ‘‘S’ouvrir au monde’’ est une expression qui, de nos jours, est adoptée par l’économie et les finances. Cela révèle qu’il est nécessaire de promouvoir non seulement une mystique de la fraternité mais aussi une organisation mondiale plus efficace pour aider à résoudre les problèmes pressants des personnes abandonnées qui souffrent et meurent dans les pays pauvres. [280] En réalité, « celui qui n’aime pas n’a pas connu Dieu, car Dieu est Amour » (1Jn 4, 8). La voie a été ainsi rouverte à la trompeuse terreur de la guerre. Ce n’est qu’en cultivant ce genre de relations que nous rendrons possibles une amitié sociale inclusive et une fraternité ouverte à tous. [109] Cf. Rivages, Paris (1988), p. 166. Nous nous sentons aussi troublés par nos institutions désarmées et démunies, ou mises au service des intérêts d’une minorité, de l’intérieur et de l’extérieur. post-syn. 149. La solitude, les peurs et l’insécurité de tant de personnes qui se sentent abandonnées par le système, créent un terrain fertile pour les groupes mafieux. En ce qui concerne cette dernière façon de continuer son chemin, dans certains pays ou milieux, il y a un mépris envers les pauvres et envers leur culture, et un mode de vie caractérisé par le regard dirigé vers l’extérieur, comme si on tentait d’imposer de force un projet de société importé. Aujourd’hui encore, derrière la muraille de la ville antique se trouve l’abîme, le territoire de l’inconnu, le désert. Autrement, des idéologies de gauche ou des pensées sociales en viennent quelquefois à côtoyer des habitudes individualistes et des façons de faire inefficaces qui ne profitent qu’à une petite minorité. [80] Pour ces considérations, je me suis inspiré de la pensée de Paul Ricœur, ‘‘Le socius et le prochain’’, in : Histoire et vérité, éd. en langue française (17-24 décembre 2019), p. 10. Cependant, il s’en trouve encore qui semblent se sentir encouragés, ou du moins autorisés, par leur foi à défendre diverses formes de nationalismes, fondés sur le repli sur soi et violents, des attitudes xénophobes, le mépris, voire les mauvais traitements à l’égard de ceux qui sont différents. Evangelii gaudium (24 novembre 2013), n. 256 : AAS 105 (2013), p. 1123. Il a semé la paix partout et côtoyé les pauvres, les abandonnés, les malades, les marginalisés, les derniers. en langue française (24 septembre 2015), p. 10. Encycliques. Ces malheurs sont le fruit de la déviation des enseignements religieux, de l’usage politique des religions et aussi des interprétations de groupes d’hommes de religion qui ont abusé – à certaines phases de l’histoire – de l’influence du sentiment religieux sur les cœurs des hommes. La pandémie récente nous a permis de distinguer et de valoriser de nombreux hommes et femmes, compagnons de voyage, qui, dans la peur, ont réagi en offrant leur propre vie. On n’obtient pas non plus l’égalité en définissant dans l’abstrait que ‘‘tous les êtres humains sont égaux’’, mais elle est le résultat d’une culture consciente et pédagogique de la fraternité. D’autres soutiennent qu’accorder de la place au pardon, c’est renoncer à sa propre place pour laisser d’autres dominer la situation. [231] Pour la rappeler, je ne peux pas ne pas répéter cette prière : « Souviens-toi de nous dans ta miséricorde. Au nom de la justice et de la miséricorde, fondements de la prospérité et pivots de la foi. Laudato si´ (24 mai 2015), n. 93 : AAS 107 (2015), p. 884. Parmi ses conseils, je voudrais en souligner un par lequel il invite à un amour qui surmonte les barrières de la géographie et de l’espace. Il est nécessaire d’enfoncer ses racines dans la terre fertile et dans l’histoire de son propre lieu, qui est un don de Dieu. La réalité, c’est que « le processus de paix est un engagement qui dure dans le temps. [86] Revenons à la promotion du bien, pour nous-mêmes et pour l’humanité tout entière, et nous progresserons ainsi ensemble vers une croissance authentique et intégrale. Il faut des artisans de paix disposés à élaborer, avec intelligence et audace, des processus pour guérir et pour se retrouver. Laudato si´ (24 mai 2015), n. 95 : AAS 107 (2015), p. 885. Je livre cette encyclique sociale comme une modeste contribution à la réflexion pour que, face aux manières diverses et actuelles d’éliminer ou d’ignorer les autres, nous soyons capables de réagir par un nouveau rêve de fraternité et d’amitié sociale qui ne se cantonne pas aux mots. En effet, Dieu continue de répandre des semences de bien dans l’humanité. 56. 261. L’homme blessé et abandonné sur la route était une gêne pour ce projet, une entrave, et par ailleurs il n’assumait aucune fonction. Parfois, on cherche à gagner en popularité en exacerbant les penchants les plus bas et égoïstes de certains secteurs de la population. Dans les milieux riches de nombreux pays pauvres, et parfois chez ceux qui ont réussi à sortir de la pauvreté, on constate une incapacité à accepter des caractéristiques et des processus spécifiques, ce qui provoque du mépris pour l’identité culturelle comme si celle-ci était la seule cause des maux. Car la réalité, c’est que « tant que notre système économique et social produira encore une seule victime et tant qu’il y aura une seule personne mise à l’écart, la fête de la fraternité universelle ne pourra pas avoir lieu ». Que d’autres continuent à penser à la politique ou à l’économie pour leurs jeux de pouvoir ! Je ne pense pas seulement à un gouvernement en fonction, car ce pouvoir manipulateur peut être économique, politique, médiatique, religieux ou de tout autre genre. Laudato si´ (24 mai 2015), n. 229 : AAS 107 (2015), p. 937. En revanche, pour les pays petits ou pauvres s’ouvre la possibilité de conclure avec leurs voisins des accords régionaux qui leur permettent de négocier en bloc et d’éviter de devenir des segments marginaux et dépendants des grandes puissances. [168]Cela suppose qu’on reconnaisse que « l’amour, fait de petits gestes d’attention mutuelle, est aussi civil et politique, et il se manifeste dans toutes les actions qui essaient de construire un monde meilleur ». Outillons nos enfants des armes du dialogue ! 162. Evangelium vitae (25 mars 1995), n. 56 : AAS 87 (1995), pp. Même dans des milieux catholiques, on peut dépasser les limites, on a coutume de banaliser la diffamation et la calomnie, et toute éthique ainsi que tout respect de la renommée d’autrui semblent évacués ». […] L’isolement et le repli sur soi ou sur ses propres intérêts ne sont jamais la voie à suivre pour redonner l’espérance et opérer un renouvellement, mais c’est la proximité, c’est la culture de la rencontre. [92] Ou en d’autres termes, comme l’a affirmé saint Grégoire le Grand : « Quand nous donnons aux pauvres les choses qui leur sont nécessaires, nous ne leur donnons pas tant ce qui est à nous, que nous leur rendons ce qui est à eux ».[93]. Elle ne peut même pas nous préserver de tant de maux qui prennent de plus en plus une envergure mondiale. Mais cela ne s’accomplit que dans la mesure où le processus en question se réalise dans le dialogue et dans un esprit d’ouverture aux autres. ap. Le pardon, c’est précisément ce qui permet de rechercher la justice sans tomber dans le cercle vicieux de la vengeance, ni dans l’injustice de l’oubli. Caritas in veritate (29 juin 2009), n. 67 : AAS 101 (2009), p. 700. [145] Bien qu’ils dérangent, bien que quelques “penseurs” ne sachent pas comment les classer, il faut avoir le courage de reconnaître que, sans eux, « la démocratie s’atrophie, devient un nominalisme, une formalité, perd de sa représentativité, se désincarne car elle laisse le peuple en dehors, dans sa lutte quotidienne pour la dignité, dans la construction de son destin ».[146]. Le travail d’éducation, le développement des habitudes solidaires, la capacité de penser la vie humaine plus intégralement et la profondeur spirituelle sont nécessaires pour assurer la qualité des relations humaines, de telle manière que ce soit la société elle-même qui réagisse face à ses inégalités, à ses déviations, aux abus des pouvoirs économiques, technologiques, politiques ou médiatiques. 269. [213] Les évêques de la Corée du Sud ont signalé qu’une véritable paix « ne peut être obtenue que si nous luttons pour la justice à travers le dialogue, en recherchant la réconciliation et la croissance mutuelle ». Au nom des pauvres, des personnes dans la misère, dans le besoin et des exclus que Dieu a commandé de secourir comme un devoir demandé à tous les hommes et, d’une manière particulière, à tout homme fortuné et aisé. [263] Discours aux responsables des diverses religions et des autres dénominations chrétiennes, Tirana - Albanie (21 septembre 2014) : L’Osservatore Romano, éd. Mais cela suppose que des intentions spécieuses ne soient pas masquées et que des intérêts particuliers d’un pays ou d’un groupe ne soient pas placés au-dessus du bien commun du monde entier. [241] Lettre enc. Laudato si´ (24 mai 2015), n. 128 : AAS 107 (2015), p. 898. La parabole nous montre par quelles initiatives une communauté peut être reconstruite grâce à des hommes et des femmes qui s’approprient la fragilité des autres, qui ne permettent pas qu’émerge une société d’exclusion mais qui se font proches et relèvent puis réhabilitent celui qui est à terre, pour que le bien soit commun. De cette façon, il nie qu’il y a de la place pour tout le monde. Cette dynamique, de par sa logique intrinsèque, empêche la réflexion sereine qui pourrait nous conduire à une sagesse commune. Ce qui se passe, c’est que la liberté s’affaiblit, devenant ainsi davantage une condition de solitude, de pure indépendance pour appartenir à quelqu’un ou à quelque chose, ou simplement pour posséder et jouir. Nous devons briser cette chaîne qui paraît inéluctable ».[211]. [53] Conc. Il condamnait ouvertement l’usage de la force pour s’imposer aux autres : « Vous savez que les chefs des nations dominent sur elles en maîtres et que les grands leur font sentir leur pouvoir. 700-701. Mais quand des progrès notables dans ce sens manquent, il faut respecter le droit de tout être humain de trouver un lieu où il puisse non seulement répondre à ses besoins fondamentaux et à ceux de sa famille, mais aussi se réaliser intégralement comme personne. Il n’en doit pas être ainsi parmi vous » (Mt 20, 25-26). en langue française (12 février 2019), p. 11. en langue française (25 septembre 2014), p. 3. Certains préfèrent ne pas parler de réconciliation parce qu’ils pensent que le conflit, la violence et les ruptures font partie du fonctionnement normal d’une société. [78] Ce faux rêve universaliste finit par priver le monde de sa variété colorée, de sa beauté et en définitive de son humanité. Ceux-ci devraient d’un côté aider effectivement l’intégration des migrants dans les pays d’accueil, et en même temps favoriser le développement des pays de provenance par des politiques solidaires, mais qui ne soumettent pas les aides à des stratégies et à des pratiques idéologiquement étrangères ou contraires aux cultures des peuples auxquels elles s’adressent ». [41] Message pour la 106e Journée Mondiale du Migrant et du Réfugié (13 mai 2020) : L´Osservatore Romano, éd. 23. « Nous savons, nous, que nous sommes passés de la mort à la vie, parce que nous aimons nos frères. Au dernier jour et quand il y aura la lumière suffisante sur la terre pour voir les choses telles qu’elles sont, il y aura des surprises ! La nouvelle encyclique du pape François, qui sera publiée le 4 octobre sous le titre Fratelli tutti (Tous frères) portera sur la fraternité humaine. [27] Document sur la fraternité pour la paix mondiale et la coexistence commune, Abou Dhabi (4 février 2019) : L´Osservatore Romano, éd. Nous, croyants, nous pensons que, sans une ouverture au Père de tous, il n’y aura pas de raisons solides et stables à l’appel à la fraternité. en langue française (4 octobre 2018), p. 12. 5 octobre 2020. en langue française (22 janvier 2019), p. 9. Ce n’est pas pour rien que Jésus recommande : « Pour toi, quand tu fais l’aumône, que ta main gauche ignore ce que fait ta main droite, afin que ton aumône soit secrète » (Mt 6, 3-4). [194], 196. [81] Exhort. Il y a aussi un aspect de l’ouverture universelle de l’amour qui n’est pas géographique mais existentiel. [176] Précisément, sa relation avec la vérité permet à la charité d’être universelle et lui évite ainsi d’être « reléguée dans un espace restreint et relationnellement appauvri ». Mais, par manque d’une vision d’avenir et par manque d’une conscience partagée concernant notre destin commun, on n’a pas profité, comme il le fallait, des occasions qu’offrait la fin de la guerre froide. Elle a reçu au pied de la Croix cette maternité universelle (cf. En réalité, la foi fonde la reconnaissance de l’autre sur des motivations inouïes, car celui qui croit peut parvenir à reconnaître que Dieu aime chaque être humain d’un amour infini et qu’« il lui confère ainsi une dignité infinie ». Dans ce monde qui avance sans un cap commun, se respire une atmosphère où « la distance entre l’obsession envers notre propre bien-être et le bonheur partagé de l’humanité ne cesse de se creuser et nous conduit à considérer qu’un véritable schisme est désormais en cours entre l’individu et la communauté humaine. L’essentiel, c’est de ne pas le faire pour nourrir une colère qui nuit à notre âme et à l’âme de notre peuple, ou par un besoin pathologique de détruire l’autre qui déclenche une course à la vengeance. Pour beaucoup de personnes, la politique est aujourd’hui un vilain mot et on ne peut pas ignorer qu’à la base de ce fait, il y a souvent les erreurs, la corruption, l’inefficacité de certains hommes politiques. Cependant, « nous soulignons que, avec ces progrès historiques, grands et appréciés, se vérifient une détérioration de l’éthique, qui conditionne l’agir international, et un affaiblissement des valeurs spirituelles et du sens de la responsabilité. La lutte entre divers secteurs, « si elle renonce aux actes d’hostilité et à la haine mutuelle, se change peu à peu en une légitime discussion d’intérêts, fondée sur la recherche de la justice ». 153. [234] Message pour la 53e Journée Mondiale de la Paix 1er janvier 2020 (8 décembre 2019), n. 2 : L’Osservatore Romano, éd. En élargissant le regard, le Grand Imam Ahmad Al-Tayyeb et moi-même avons rappelé que « la relation entre Occident et Orient est une indiscutable et réciproque nécessité, qui ne peut pas être substituée ni non plus délaissée, afin que tous les deux puissent s’enrichir réciproquement de la civilisation de l’autre, par l’échange et le dialogue des cultures. [235] Conférence des Evêques de Croatie, Letter on the Fiftieth Anniversary of the End of the Second World War (1er mai 1995). [159] Tout au contraire, « nous avons besoin d’une politique aux vues larges, qui suive une approche globale en intégrant dans un dialogue interdisciplinaire les divers aspects de la crise ». Le Pape a ensuite procédé à la signature de l’encyclique "Fratelli Tutti", dont le texte a été rendu public dimanche 4 octobre. [237] Cf. [249] Discours à une délégation de l’Association Internationale de Droit Pénal (23 octobre 2014) : L’Osservatore Romano, éd. 11. Elles sont aussi le milieu privilégié pour la transmission de la foi, en commençant par ces simples gestes de dévotion que les mères enseignent à leurs enfants. Étant donné que si je ne la nie pas au pire des criminels, je ne la nierai à personne, je donnerai à chacun la possibilité de partager avec moi cette planète malgré ce qui peut nous séparer. Document sur la fraternité humaine pour la paix mondiale et la coexistence commune, Discours lors de la rencontre œcuménique et interreligieuse avec les jeunes, Discours au Parlement européen, Strasbourg, Rencontre avec les Autorités, la société civile et le Corps diplomatique, Discours au Corps diplomatique accrédité près le Saint-Siège, Discours à la Fondation ‘‘Centesimus annus pro Pontifice’’, Message aux participants à la Conférence Internationale ‘‘Les droits humains dans le monde contemporain : conquêtes, omissions, négations’’, Document sur la fraternité pour la paix mondiale et la coexistence commune, Message vidéo à la conférence TED 2017 de Vancouver, Moment extraordinaire de prière en temps d’épidémie, Discours aux Autorités, à la société civile et au Corps diplomatique, Salutation aux étudiants du Centre Culturel Père Félix Varela, Discours aux personnes assistées par les œuvres caritatives de l’Eglise, Message à l’occasion de la rencontre mondiale des mouvements populaires, Message aux personnes porteuses de handicap, Angélus, Discours lors de la rencontre pour la liberté religieuse avec la communauté hispanique et d’autres immigrés, Message pour l’événement “Economy of Francesco”, Discours aux participants à la rencontre mondiale des mouvements populaires, Discours à l’Organisation des Nations Unies, Discours à la classe dirigeante et au Corps diplomatique, Discours lors de la rencontre avec la classe dirigeante, Discours lors de la grande rencontre de prière pour la réconciliation nationale, Rencontre interreligieuse avec les jeunes, Discours aux Autorités, au Corps diplomatique et à certains représentants de la société civile, Homélie lors de la Sainte Messe pour le progrès des peuples, Discours aux enfants du Centre Béthanie et à des représentants d’autres centres caritatifs en Albanie, Discours lors de la cérémonie de bienvenue, Message à la Conférence de l’ONU pour la négociation d’un instrument juridiquement contraignant visant à interdire les armes nucléaires en vue de leur élimination complète, Lettre aux Évêques à propos de la nouvelle formulation du n. 2267 du catéchisme de l’Eglise catholique sur la peine de mort, Discours à une délégation de l’Association Internationale de Droit Pénal, Discours aux responsables des diverses religions et des autres dénominations chrétiennes, Discours lors de la rencontre œcuménique, Lectio divina à l’Université Pontificale du Latran, Déclaration commune du Pape François et du Patriarche Œcuménique Bartholomée, Discours lors de la Rencontre Internationale pour la Paix organisée par la communauté de San Egidio. [131] Puisse cela se vivre également entre les pays voisins, afin qu’ils soient capables de construire des relations cordiales de voisinage entre leurs peuples ! De fait, « le nombre toujours croissant d’interconnexions et de communications qui enveloppent notre planète rend plus palpable la conscience […] du partage d’un destin commun entre les nations de la terre. Mais il arrive souvent que les droits secondaires se superposent aux droits prioritaires et originaires en les privant de toute portée pratique. 139. [265], 276. De ce fait, chaque personne qui naît dans un contexte déterminé sait qu’elle appartient à une famille plus grande sans laquelle il est impossible de se comprendre pleinement. Alors qu’une partie de l’humanité vit dans l’opulence, une autre partie voit sa dignité méconnue, méprisée ou piétinée et ses droits fondamentaux ignorés ou violés ». L'encyclique très politique du pape François. Il ne s’agit donc pas seulement de rechercher la rencontre entre ceux qui détiennent diverses formes de pouvoir économique, politique ou universitaire. 220-221 : AAS 105 (2013), pp.